“Lorsque vous avez éliminé l'impossible, ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la vérité.” Arthur Conan Doyle
Cette maxime littéraire empruntée à Sir Arthur Conan Doyle vient étayer à merveille le propos de ce nouvel épisode au sein des crises et transitions de vie.
Car au-delà de ce qui semble impossible, il y a le possible !
La semaine dernière, nous avons vu comment, à la trentaine, les concessions et renoncements de la vie de jeune adulte ont sacrifiés ses rêves et aspirations sur l’autel des responsabilités et contraintes des exigences sociales, familiales et professionnelles.
La vie s’est organisée, construite, agencée à encastrement autour de l’image sociale, synonyme de reconnaissance.
Une décennie plus tard, coincé dans une cadence rythmée au métronome, phagocyté dans le fil invisible des contraintes et de l’hyperactivité, on a rempli le temps extérieur oubliant le temps intérieur. Toujours en mouvement, la quarantaine confronte à une angoisse nouvelle émanant du FAIRE : la panique du vide, du moment d’inactivité, du temps dit mort ou perdu, "on n'a jamais le temps", symptomatique du langage du FAIRE et de l’AVOIR !