Quitter son travail, bizarrement, pose moins de problème lorsqu’on s’y sent bien que lorsqu’on en souffre. Peut-être est-ce lié à l’absence de projet ou peut-être à l’état physique et psychique dans lequel on se trouve ou peut-être encore à l’état des relations que l’on entretient avec ceux que l’on va devoir affronter lors du départ. C’est sûrement un peu de tout ça à la fois. Pourtant, c’est bien quand les choses vont mal que l’on a besoin de toutes nos forces pour quitter son entreprise dans les meilleures conditions possibles. Alors comment faire face ? J’en ai discuté avec Violaine Capet, avocate en reconversion, qui a vécu ce paradoxe de l’intérieur. Lire la suite